Aujourd’hui, on apprend que Pierre-Karl Péladeau (PKP) quitte la chefferie du Parti québécois (PQ).
Les médias couvrent la nouvelle. Les médias sociaux sont en feu. PKP est partout plus que jamais.
Je me permets de citer Jean-François Lisée hors contexte: Pierre-Karl Péladeau est « une bombe à retardement ».
«Si des gens ne voient pas aujourd’hui la bombe à retardement que c’est pour le PQ, pour sa capacité de reprendre le pouvoir, je serais le seul à le dire que je continuerai de le répéter», avait-il déclaré.
Et bien la bombe avait pétée lorsque Enquête avait fortement critiqué le style de leadership de PKP. Puis, elle a « repété » aujourd’hui… jusqu’à l’essoufflement.
Je ne critiquerai pas son mandat, je ne donnerai pas mon opinion comme le font tous ces gérants d’estrades. Je voulais essayer de retracer la petite histoire pour les archives. Que peut-on tenir comme leçon de cette cascade d’événements? Et bien, la réputation d’un homme ne tient qu’à un fil et les hommes étant des êtres de chair et de sang, il se peut que la politique soit trop cruelle pour eux.
SOURCE
ICI Radio-Canada
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